.
.
Ça y est, terminé de se
prendre pour un cavalier-archer descendant direct de Gengis Khan,
nous revoici aux côtés d'Ishka et de son 4x4. Ils nous attendaient
de pied ferme 100 km plus bas que l'endroit où ils nous avaient
laissés, au campement se trouvant à la sortie du parc des Huit
Lacs.
Nous quittons nos chevaux avec émotion, bien que notre postérieur mettra plusieurs jours à se remettre de cette foutue selle mongole! Nous passons donc la nuit dans une des yourtes de cette famille que connaissent déjà Ishka et Bogui.
Nous quittons nos chevaux avec émotion, bien que notre postérieur mettra plusieurs jours à se remettre de cette foutue selle mongole! Nous passons donc la nuit dans une des yourtes de cette famille que connaissent déjà Ishka et Bogui.
Dovdon, notre horseman,
qui – comme nous autres - avait attaqué la journée très fort,
n'a pas réussi à se remettre du voyage et a également dormi au
camp. Il faut dire que, Tina a omis de vous le conter, la dernière
journée de cheval a été assez éthylique!
.
D'abord nous sommes
passés par le camp du « voisin » de Dovdon. 10H du
matin. Comme il était blessé à la jambe, l'alcool a coulé à
flot... dans nos gosiers! Comme d'habitude en Mongolie, nous avons
donc commencé par le traditionnel petit déjeuner complet, c'est à
dire composé d'airag (le lait de jument fermenté) et de vodkas de
toutes origines – mongole pour le petit goût de lait (normal,
c'est le petit dèj), et russe pour le petit goût de patate, parce
qu'il faut bien se nourrir.
C'est là que nous avons
rencontré Sylvie, cette française de 25 ans, venue passer un an
avec la famille d'un éleveur, également venus visiter le pauvre
voisin estropié. Elle était venue en vacances en Mongolie, mais
« avait encore des questions sans réponses à son départ ».
Estomaqués nous étions devant son récit. L'hiver, comme pour les
Mongols en général, aura été sa saison préférée. Elle
repartira, comme prévu, à la fin de l'été. J'espère qu'elle a
trouvé quelques réponses à ses questions.
.
Nous avons continué le
chemin sans Dovdon. Il avait visiblement encore soif et a proposé de
nous retrouver au grand lac, deux heures de cheval plus loin.
Heureusement que le cheval était là pour le porter! Mais malheur à
nos foies, près de ce lac où nous déjeunions, nous avons rencontré
une bande de jeunes randonneurs d'Outre-Manche dont les guides locaux
avaient cassé leur réchaud. Nous leur avons donc prêté le notre.
Pour nous remercier, l'un d'eux, qui, par chance, connaissait la sœur
du pote d'un beau-frère dont le cousin est le proprio de la yourte
qu'on voyait au loin là bas, en est revenu avec un bidon plein
d'airag. La pause déjeuner s'éternisait. Une fois le bidon vidé,
nous avons fini par lever le camp. Mais avec les vapeurs d'alcool
émanant de l'haleine et de la sueur de Dovdon, le pauvre cheval
commençait à tituber presque autant que son maître...
.
Une fois au campement où
nous avons donc dormi, l'apéro de bienvenue l'a achevé. Le pauvre a
terminé à dormir dans le coin inexistant de la yourte de cette
nouvelle famille qui nous accueillait, contrainte d'héberger
l'ivrogne pour la nuit.
.
Le lendemain matin est
très inégal en gueule de bois pour les uns et les autres. Dovdon,
qui, il faut bien le dire, avec ses moustaches et sa mâchoire
carrée, jouit d'un visage patibulaire mais presque, fait une gueule
à effrayer un ours slovène. Mais les au-revoirs, malgré les
haleines fétides, sont très chaleureux. Il faut dire qu'il m'aimait
bien, le Dovdon. Moi, j'aimais surtout ses chevaux.
Nous remontons donc dans
le mode de transport mongol du XXIè siècle, le UAZ. Direction, le
Sud. Le Gobi.
.
.
.
.
Ce premier jour, nous
commençons donc à nous enfoncer dans ce désert qui fait trois fois
la superficie de la France, coincé entre le Sud de la Mongolie et le
Nord de la Chine. Nous roulons jusqu'au
lac asséché d'Orog Nuur, au pied d'une petite chaine
montagneuse, et y rencontrons une charmante famille d'éleveurs de
chèvres. Nous passons un bon moment avec eux, et les aidons à
rassembler et traire leur bêtes. Nous décidons de bivouaquer pas
très loin. Plus tard dans la soirée, leurs trois filles nous
apportent du yaourt frais et du lait chaud. Nous les remercions en
leur offrant des fruits et quelques tablettes de chocolat Golden
Gobi.
Ce
chocolat porte bien son nom. Le coucher et, le matin suivant, le
lever de soleil sont majestueux. La lumière est chaude, le soleil
rougit au dessus d'une végétation buissonnante et moribonde. Le
sable prend une teinte dorée, et les montagne s'enflamment dans un
ciel qui les recouvre petit à petit de ses étoiles.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Le
lendemain, nous nous perdons au milieux de collines, à
chercher, sans GPS, une grotte. Nous tournons en rond pendant des
heures dans un paysage sans piste ni chemin, qui n'offre aucun relief
particulier, pas même un arbre, à essayer de déchiffrer la route à
suivre sur une carte au millionième. Autant
chercher une puce dans le pelage d'un cheval! Les
nomades que nous rencontrons tous les 10 kilomètres nous indiquent,
à la façon des Mongols, d'un doigt plié, bras tendu vers la
steppe, que c'est à une distance moyenne vers le sud-est, ou, plus
loin, le doigt tendu vers l'horizon, que c'est assez loin, mais vers
le sud-ouest. Qu'y a t-il de plus relatif que les distances dans ce
pays. On ne les compte pas en kilomètres, mais en journées de
cheval, voire de Jeep pour les plus riches. Nous ne trouvons pas.
Tout le monde s'engueule. Malte a faim, Hanna est fatiguée, Verena
de mauvais poil, Bogui est embêtée de nous faire tourner en rond,
Ishka est têtu et veut trouver... Les joies du voyage en groupe.
Nous finissons tout de même par la trouver cette grotte qui ne paye
pas de mine, et sommes récompensés par un spectacle de la nature
mongole : Un double arc en ciel en plein désert de rocaille. Nous
sommes à l'entrée du Gobi. Ces arches colorées nous souhaitent la
bienvenue, tel un immense portail ouvrant la voie du désert.
Dernières gouttes d'eau avant Oulan Bator. Cela nous rappelle que
nos bouteilles se vident de plus en plus vite au fur et à mesure que
le mercure du thermomètre monte, et qu'il va nous falloir trouver un
puits avant les dunes de sable si nous ne voulons pas mourir de soif.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Nous continuons à rouler
vers le Sud. Peu à peu, le terrain devient sableux. Les dunes de
Kongoryn Els finissent par se montrer, au bout d'une route qui paraît
interminable. Nous débarquons dans un petit camp de cinq ou six
yourtes au pied de ces montagnes mouvantes, sous une chaleur
accablante. Tina et moi nous lançons dès cette fin d'après-midi à
l'assaut de ces masses de sable. Le soleil se couche lentement,
impossible de se décider à rentrer au camp. Pourtant, il y a plus
d'une heure de marche pour rentrer aux yourtes. Mais nous
retrouverons bien le chemin...
.
.
.
.
Depuis le sommet de l'une
de ces dunes, nous assistons donc au coucher de soleil, seuls,
seulement tous les deux, enfin tous les deux. Spectacle saisissant de
la lumière du couchant colorant le sable tour à tour de
jaune foncé, d'ocre, d'orange, de rosé, puis de pourpre. Nous
aurions dû prendre nos duvets et dormir ici, à la belle étoile,
mais les nuits peuvent être très froides, donc mieux vaut rentrer.
Le Gobi est en effet le désert le plus froid de la planète, et,
même en été, les température peuvent descendre en dessous de
zéro. Nous sommes dans le noir total, pas de lune cette nuit, juste
un ciel incroyablement étoilé, plus d'astres que nous n'en avions
jamais vu auparavant. Heureusement pour nous, les yourtes du camp ont
aussi allumé leurs petites ampoules branchées sur des batteries de
voiture. Nous les apercevons du haut des plus hautes buttes de sable.
Elle nous permettent de nous orienter. Sans elles, nous n'aurions
jamais pu retrouver le camp et aurions sans doute passé la nuit
dehors, finalement.
.
.
.
.
.
.
.
Un petit coup de tabac à priser?
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Nous restons deux jours dans ce camp qui nous offre l'occasion d'une
pause. Nous y mangeons de la chèvre (le meilleur morceau de viande
que j'ai avalé depuis des années, même les trois végétariens du
groupe se sont régalés), et y buvons de l'airag de chamelle, doux,
épais et crémeux.
Nous y faisons une sympathique randonnée à dos de chameaux. Photos,
dunes, danse du ventre entre les deux bosses, mal de mer à trois
mètres au dessus du sol. Et les douleurs postérieures qui se
réveillent. Cliché de touriste, pour nous aussi.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
Il faut dire qu'ils sont nombreux, les occidentaux, dans ce coin du
Gobi. Peut-être pour nous la possibilité de se laver. Dernière
occasion avant la capitale, dans une semaine. Nous allons donc voir
si c'est possible dans l'un de ces gigantesques « tourist ger
camps », ces usines à voyageurs du dimanche, arrivés par cars
entiers ; des camps de dizaines de yourtes d'un blanc immaculé,
meublées des matelas les plus épais du pays, alignées le long de
vilains chemins de gravier tracés au cordeau (dans un pays ou
absolument rien n'est droit), organisées autour d'un restaurant à
la déco ultra kitch où l'on sert de la baguette grillée et de la
confiture de fraise au petit déjeuner. Le tout affiche une laideur
ahurissante. Ces camps se multiplient à travers le pays, en
particulier autour de la capitale. Leur peste du siècle. Ainsi, même
les plus fortunés des touristes peuvent avoir, ou plutôt
l'impression d'avoir, leur expérience authentique d'une vraie nuit
en yourte, avec d'authentiques nomades ayant délaissé leurs moutons
pour les plus rentables troupeaux d'Allemands et d'Américains
bedonnants. Des nomades sédentarisés par les authentiques dollars
qui coulent à flot des poches de ces authentiques voyageurs. C'est
triste comme une baleine qui s'échoue sur une plage. Dieu merci,
nous n'y dormons pas, mais, hypocrites que nous sommes, ces camps
nous offrent bien la possibilité d'une authentique douche (commune),
et à 5€, sans doute la douche la plus chère du pays, nous
comptons bien en profiter. C'était d'ailleurs pas tant pour le luxe
de se doucher en plein désert, mais plus pour se débarrasser, entre
autres, de l'odeur de cheval trainée depuis des jours!
.
.
Le robinet du camp
.
.
En sortant, on se sent si léger! Ça n'a pas duré longtemps. A
peine revenus à notre camp, comme pour nous corriger d'avoir souillé
le sol du désert avec notre courte douche, un mur de poussière
rouge se forme et nous fonce dessus. Une tempête de sable. Panique
dans le camp. Il faut vite fermer les toiles des yourtes, et lester
les structure poids plumes des tentes avec d'énorme bidons de 30
litres d'eau attachés au poteau central... afin que le tout ne
s'envole pas à des kilomètres.
La tempête est là, la yourte est secouée en tous sens. Afin d'en
profiter encore plus, nous sortons et en prenons plein la figure. Au
sens propre. Les chameaux restent zen et tournent le dos au vent,
leur naseaux filtrant le sable.
Nous nous abritons dans le van et regardons le vent et le sable se
déchainer contre tout ce qui est debout. Yourtes, véhicules, bêtes.
Ça dure une bonne heure, et puis ça se calme. On ressort encore
plus crasseux qu'avant la douche! Le sable s'est incrustés dans nos
cheveux, dans nos vêtement, dans nos pores. Trois centimètres de
sable dans la yourte, on en retrouvera de partout dans nos sacs,
notre matériel, notre bouffe et nos appareils photo pendant des
jours.
.
.
.
.
Nous finissons par quitter cette petite bande de sable d'une centaine
de kilomètres de long, un peu solitaire dans l'immense Gobi qui lui,
est plutôt plat. Je ne cesse de penser à Slavomir Rawicz, un
lieutenant de l'armée polonaise, qui prétend dans son livre s'être
évadé d'un goulag sibérien et, avec six de ses camarades de
cellule, avoir marché pendant deux ans pour fuir le communisme à
travers l'Asie, traversant la Sibérie, la Mongolie, le Gobi, la
Chine, jusqu'en Inde. Il décrivait d'ailleurs le Gobi comme une
immensité de dunes, chose difficile à croire lorsque l'on est sur
place. La steppe plate est devant, les montagnes juste derrière. Il
prétendait aussi y avoir marché sans boire pendant 9 jours
consécutifs, ce qui le discrédita auprès de nombreux spécialistes.
Quoiqu'il en soit, nous enchainons plusieurs journées de paysage
identique. Et vide. Du plat. Encore du plat. Toujours du plat. Et un
long nuage de poussière qui colle à notre UAZ filant sur une piste
aussi droite qu'un soldat chinois dans ses bottes. Les yourtes et les
voyageurs se faisant de plus en plus rares, les chameaux morts,
gisant au bord de la route, nous rappellent que la moindre panne
pourrait vite devenir dramatique. Trouver de l'eau, encore de l'eau.
Pas sûrs de pouvoir tenir autant qu'un fuyard polonais.
.
.
Je marche seul...
.
.
Nous finissons par arriver à Yolyn Am. Un très beau canyon fleuri,
qui est gelé la plus grande partie de l'année. Nous bivouaquons à
la sortie de celui-ci, au milieu d'un paysage magnifique.
.
.
Ravitaillement en eau dans un puits, sur la route
.
.
.
.
.
Passage délicat dans un canyon
.
.
.
.
.
Qui dit canyon, dit rivière, qui dit rivière, dit qu'on lave le linge!
.
.
.
.
.
Yolin Am
.
.
.
.
.
Bivouac à la sortie du canyon
.
.
Le matin suivant, la discussion du petit dèj est tendue. Continuons
nous, comme nous l'avions prévu à Oulan Bator, sur les Flaming
Cliffs, le domaine de Roy Chapman Andrews, l'aventurier
paléontologue des années 30 qui inspira le personnage d'Indiana
Jones à Steven Spielberg et George Lucas? Ou bien tirons nous un
trait sur cette région qui fut jadis peuplée de dinosaures (les
fossiles, notamment d'oeufs, en témoignent) pour filer sur
Mandalgov, la ville principale de l'aimag (province) du Sud-Gobi, car
le Naadam, la fête nationale, s'y tient dans deux jours... En ce qui
concerne Tina et moi, nous préférerions sauter sur l'occasion de
passer un peu de temps entourés de Mongols, de voire la foule en
habits traditionnels, de célébrer avec eux la fête la plus
importante de l'année. Les autres préfèreraient continuer comme
prévu. Hanna finit par se joindre à notre « camp ».
L'argument qui fait basculer la décision en notre faveur, c'est que
sur la route, il y a les Falaises Blanches.
.
.
Montage de tente dans le plus grand des terrains de camping
.
.
Nous voici donc sur la route de ces falaises. Étrange paysage
karstique au milieu de l'immensité plate du Gobi. Ces falaises, de
plusieurs dizaines de mètres de haut, prennent, au soleil couchant,
des tons multiples. Tina et moi courons en tout sens pour essayer
d'immortaliser le monument naturel et ses couleurs sur nos capteurs
d'appareils photo. Nous prenons également l'air... le fait d'être
en permanence avec les trois autres commençant à nous peser. En
particulier les discussions comme ce matin qui se répètent de plus
en plus souvent, et sont toujours de plus en plus compliquées.
Justement, Verena nous fait signe. Nous allons la voir. Ils nous font
savoir qu'ils aimeraient bivouaquer ici. Mais si nous dormons ici,
nous raterons tout le Naadam qui commence tôt le lendemain matin.
Mandalgov est à au moins 5h de route. Rediscussion interminable.
Depuis des jours, on remet tout en question en permanence, chaque
jour. On dirait qu'ils ne sont jamais contents. La tension est montée
d'un cran dans le groupe. Ce sont pourtant des gens avec qui l'on se
sent très bien, mais passer trois semaines non-stop avec des
personnes qui nous étaient encore inconnues deux jours avant le
départ, dans des conditions de voyage, de confort, d'hygiène, de
partage, de fatigue, parfois de tension, ou de prise de décisions
particulières, ce n'est pas complètement anodin. On a beau essayer
d'épargner le reste du groupe de nos plus noires humeurs, lorsque
l'on est tout le temps ensemble, on finit par très vite connaître
les qualités et défauts de chacun d'entre nous. Loft Story dans
l'espace d'un 4x4. Les caméras en moins. Notre chance? Être 5, un
nombre impair, les décisions, qu'on voulait au départ prendre dans
le compromis, finissent souvent par être prises démocratiquement,
trois personnes contre deux. Les perdants cachent leur frustration,
les gagnants, leur joie.
.
.
Sur la route, quelques villages perdus, isolés, sinistres...
.
.
Ces gens ont beau nous être très sympathiques, le voyage en groupe,
ce n'est vraiment pas ma tasse de thé. La différence avec les
groupes que nous formions en Chine, c'est que là bas, chacun était
libre de vaquer à ses occupation pendant la journée. Chacun était
libre d'aller manger où et quand cela lui chantait. Et la situation
n'était pas subie. Lorsque au Tibet, Tina, Liza et moi avons décidé
de partir sans les gars dans les montagnes de Danba, rien ne nous en
empêchait. Ici, le contexte est inverse. Nous n'avons qu'un van,
qu'un chauffeur, toutes nos décisions doivent être prises ensemble,
avec le consentement de Bogui et Ishka qui nous disent la faisabilité
de nos projets ou idées.
.
.
.
.
Après un gros trajet effectué de nuit, nous dormons à l'entrée de
Mandalgov, afin d'y être tôt le matin, pour le début des
cérémonies d'ouverture. Mais le Naadam, et la fin du voyage, nous
vous les raconterons dans le prochain billet.
.
.
.
.
T&B
Toujours des images superbes, c'est fou, ça! J'ai envie de critiquer gratuitement: d'où vient le nom des falaises blanches? On dirait qu'elles sont de toutes les couleurs, sauf blanches. Et justement, que de couleurs dans ce post!
RépondreSupprimerJ'attends avec impatience votre récit du Naadam. Encore un qui va être haut en couleurs, non?
Bises,
Pascale, toujours fan, qui vient de découvrir l'utilité du mode "anonyme". Il est temps...
Oh la la, mais on voit bien que l'ambiance n'est pas au beau fixe sur la photo entre le coucher de soleil sur les dunes et celle des couvertures colorées. Entre Tina complètement désabusée, affalée par terre genre "ras le bol de la life, no future" et qui tourne visiblement le dos à tout le monde, et toi Bastoche en gros plan avec avec un air pincé... d'ailleurs cette boucle d'oreille ne te va pas du tout. Sans parler du piercing dans le nez.
RépondreSupprimerNon, vraiment, je vous trouve bien changés.
Merci à vous deux! Je sais pas qui est cet Anonyme très anonyme, mais oui, tu as tapé dans le mille. Sur cette photo, ça n'allait pas du tout... ;) Mais il faut bien documenter tous les états d'esprits par lesquels nous passons, non? Faut dire qu'on venait juste de se chameauiller...
RépondreSupprimerEt cette nouvelle mise en page, avec plus de photos, et des photos plus grosses, vous en pensez quoi?
Ben m**** alors, mon commentaire si tant bien qui a disparu !!!! Même que j'ai plus le droit de commenter ! :(
RépondreSupprimerTu disais: "Vous en pensez quoi ?" et je disais "que du bien", forcément... Mais après...
Merci pour la précision sur le bouquin de l'évadé polonais Slavomir Rawicz dont nous n'avions pas eu vraiment le temps de parler, quand tu avais vu le DVD l'autre jour dans notre chambre.
J'espère que la "redescente" se fait douce pour vous. Merci de nous avoir fait vivre tout ça, on en a du sable plein les cheveux, à vous lire et à nous entrer dans vos tofs merveilleuses...
Que dire de plus, sinon que je bave et que c'est pas bon pour mon clavier .
Rien dire de plus que des bisous, très fort.
Tata4 l'anonyme qui va péter un câble si cette fois ça ne passe pas ;)
Votre compte actuel (là, c'est mon adresse mail) ne dispose pas de l'autorisation d'accès nécessaire pour afficher cette page.
RépondreSupprimerCliquez sur ici pour vous déconnecter et changer de compte.
Tssssss....
Encore moi, lol, juste pour vous montrer :D
Aïe aïe aïe, on dirait que ça merdouille de plus en plus souvent... et je ne vois pas trop comment améliorer la situation.
RépondreSupprimerOn va peut-être finir par changer d'hébergeur.
Et pour ce qui est de la "redescente", bof, c'est pas trop ça... Un peu l'impression de revenir 5 ans en arrière!
Merci pour ce passage et ton commentaire, tata4.
Bise
C'est vrai, les grosses photos, c'est super. Vu mon gabarit, je rentre dedans beaucoup plus facilement.
RépondreSupprimerMais... 5 ans en arrière, mince, c'était avant qu'on ne se connaisse! Je comprends ton désarroi, Bastoche ;-)
Bises
Pascale, alias Anonyme-très-anonyme.
En voyant ces photos je comprends votre enthousiasme pour la Mongolie, vraiment impressionnant !
RépondreSupprimerJ'ai hâte de connaître la suite
Bises
MM's